Au
delà de ce que nous connaissons
Là où les flots subjuguent la terre
Là où les océans se déchaînent
Là où les flots subjuguent la terre
Là où les océans se déchaînent
Où
les violences grondent
Nous
ne sommes pas et nous ne voulons pas voir
Nous sommes riches d'éducation et de pouvoir
Mais n'utilisons pas ces dons à bon escient
Nous sommes les occidentaux aisés
Perdus dans un monde imaginaire
Nous voyons le monde comme nous l'entendons
Nous le dessinons comme nous le croyons,
Plutôt que de nous baser
Sur le réel, trop difficile à comprendre,
Nous sommes riches d'éducation et de pouvoir
Mais n'utilisons pas ces dons à bon escient
Nous sommes les occidentaux aisés
Perdus dans un monde imaginaire
Nous voyons le monde comme nous l'entendons
Nous le dessinons comme nous le croyons,
Plutôt que de nous baser
Sur le réel, trop difficile à comprendre,
L'effort
de volonté est trop demander.
Océans, vous êtes bernés, hélas!
Vous qui tanguez sur les berges solitaires
Peuplées d'idiots prêts à vous nourrir
D'or d'un noir d'ébène, richesse éphémère.
Je plains l'être humain, parfois infâme,
Alors que capable de grandes choses
Et j'espère ne pas être de ceux
Qui pourrissent ce monde.
Océans, vous êtes bernés, hélas!
Vous qui tanguez sur les berges solitaires
Peuplées d'idiots prêts à vous nourrir
D'or d'un noir d'ébène, richesse éphémère.
Je plains l'être humain, parfois infâme,
Alors que capable de grandes choses
Et j'espère ne pas être de ceux
Qui pourrissent ce monde.
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