Comme je me languis de toi
Alors qu'au petites heures je te chante
Tu es le paon aux plumes décadentes
Dans tout ton charmeur éclat
Et toi, petit faisan abasourdi et ignoré
J'endosse durement les heures passées
À me morfondre avec toi alors que je sais,
Que ce jadis n'est que pur passé.
Et voilà le présent!
Le paon déploie ses plumes harmonieusement,
Par sa beauté, il me subjugue follement
Et je n'espère nul autre à présent.
Et comme j'ai pitié du fou faisan
À jamais perdu et larmoyant.
21 mars 2012
8 mars 2012
Rêve
Les petites heures
Sont les esclaves
De mon imagination infinie
Hélas, mes yeux se ferment
Et portes closes,
Je retourne au repos
Ne m'oubliez pas!
Réveillez-moi à l'aube!
Que je vive ce rêve qu'est a vie!
Sont les esclaves
De mon imagination infinie
Hélas, mes yeux se ferment
Et portes closes,
Je retourne au repos
Ne m'oubliez pas!
Réveillez-moi à l'aube!
Que je vive ce rêve qu'est a vie!
Ignorance
Au
delà de ce que nous connaissons
Là où les flots subjuguent la terre
Là où les océans se déchaînent
Là où les flots subjuguent la terre
Là où les océans se déchaînent
Où
les violences grondent
Nous
ne sommes pas et nous ne voulons pas voir
Nous sommes riches d'éducation et de pouvoir
Mais n'utilisons pas ces dons à bon escient
Nous sommes les occidentaux aisés
Perdus dans un monde imaginaire
Nous voyons le monde comme nous l'entendons
Nous le dessinons comme nous le croyons,
Plutôt que de nous baser
Sur le réel, trop difficile à comprendre,
Nous sommes riches d'éducation et de pouvoir
Mais n'utilisons pas ces dons à bon escient
Nous sommes les occidentaux aisés
Perdus dans un monde imaginaire
Nous voyons le monde comme nous l'entendons
Nous le dessinons comme nous le croyons,
Plutôt que de nous baser
Sur le réel, trop difficile à comprendre,
L'effort
de volonté est trop demander.
Océans, vous êtes bernés, hélas!
Vous qui tanguez sur les berges solitaires
Peuplées d'idiots prêts à vous nourrir
D'or d'un noir d'ébène, richesse éphémère.
Je plains l'être humain, parfois infâme,
Alors que capable de grandes choses
Et j'espère ne pas être de ceux
Qui pourrissent ce monde.
Océans, vous êtes bernés, hélas!
Vous qui tanguez sur les berges solitaires
Peuplées d'idiots prêts à vous nourrir
D'or d'un noir d'ébène, richesse éphémère.
Je plains l'être humain, parfois infâme,
Alors que capable de grandes choses
Et j'espère ne pas être de ceux
Qui pourrissent ce monde.
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