11 août 2009

Alors que le rêve prend fin débute l'aube divine

Fantaisie sensorielle, extase
L'éveil transforme mes nuits,
Maintenant simples moments d'attente
Car ce songe est diurne.

Jamais le rêve ne fut
Si bon, si complet
Ces visions passées d'un corps sans visage
Se révèlent enfin à ma vue

Ce toucher indomptable
De l'Âme frôlant l'impossible
Douce mais menaçante vérité
Caresse de ses doigts de lune
Mon être, mes pensées

L'aveu que fis, passion
Emplit alors
Mes membres engourdis
D'une chaleur inhumaine

Le plaisir, le véritable
Ne peut me quitter

À présent, je ne veux le quitter